Ombrakis se mourrait d’ennui dans son rubis avec la jeune fille qui ne prêtait même pas attention à elle. Les jours passaient tranquillement et sans mouvement jusqu’au moment où la jeune fille perdit la bague. Elle avait glissé de son doigt fragile et blanc, pour ombrakis la fraction de seconde où la bague tomba semblait une éternité. La jeune fille ne le remarqua que quelques minutes plus tard, mais il était déjà trop tard. La bague rebondit sur les pavés en pierres grises une fois, puis deux et dévala pour finir des escaliers où elle roula, roula, roula… Ombrakis avait un peu le mal de mer pour le premier voyage puis la bague s’arrêta net en plein milieux de la rue sans que les passant la remarque.
Peut-être que l’on va me ramasser ? se demanda Ombrakis. Je vais peut-être avoir un nouveau maître. Un petit espoir illumina ses yeux car après 100 ans, elle aurait aimé qu’on la délivre un peu.
Mais ce ne fut que d’une courte durée car quelqu’un poussa la bague avec son pied puis quelqu’un d’autre encore fit de même, puis la bague recommença à dévaler une pente. Elle s’arrêta après trois minutes et Ombrakis faillit s’évanouir car elle avait mal à la tête et tout semblait plus ou moins flou. Elle n’eut pas vraiment le temps de remettre tout à fait ses esprits en place dont une grande ombre noire s’approcha d’elle et prit la bague avec des doigts un peu dégoûtants. C’était un homme qui puait l’alcool et n’était beau, mais il n’était pas seul.
Ils étaient quatre en tout a observé la bague dont un homme qui ressemblait à un archer. Ils ressemblaient à des brigands car ils avaient des armes et des visages qui n’inspiraient pas la confiance. Ils se dirigèrent dans une rue pour pas que les passant les vois faire ou entendre ce qui allait dire. La rue était sombre et étroite et les immeubles respiraient la tristesse un de la pauvreté. Ombrakis avait atterri dans un quartier pas très riche et sûrement malsain. Elle avait un peu peur de ce qu’elle allait devenir plus tard. L’homme qui avait prit la bague dit :
<< On peu en tirer un joli prix avec cette bague. Elle semble ancienne et en bon état. Donc on pourra monter le prix.
- Tu en est sûr ? demanda un autre.
- Sur et certain. Vous êtes de mon avis ?
- Ouais ! répondit-ils en choeur.
- On ira la revendre eux marchand dans la forêt des choix avec le reste de ce que l’on a volé. Puis on partagera équitablement les prix comme d’habitude >>
Oh, non ! pensa Ombrakis, moi qui pensais enfin tombé sur quelqu’un qui m’appellerait, je tombe sur des imbéciles de première classe, sa n’arrive qu’à moi ce genre de chose. Quelle poisse ! Ombrakis se reposa dans sa bague assez découragée car elle voulait utiliser ses pouvoirs mais en même temps, elle ne voulait pas s’en servir pour des gens de cette espèce. Ombrakis se fit toute petite dans la bague. Les Brigands rentrèrent dans une petite maison où ils avaient pris une chambre pour entasser toute leur babiole et n’importe quoi. Ils sortirent vers les portes de la capitale tout en volant les honnêtes gens sur leur passage puis sortirent de la capitale vers l’homme de la forêt des choix qui allait acheter et revendre leur cochonnerie…
Sam 7 Juin - 12:25