La citadelle d'Accias. Cassandra en avait déjà entendue parler. Elle ne savait pas se qu'elle pouvait trouver là bas, mais elle mourrait d'envie de le savoir. Un homme l'emmena dans une chambre et lui avait indiquer que ce serait à cet endroit même qu'elle passerait ses nuit. L'homme quitta la chambre et laissa seule la jeune femme. Cassandra n'avait jamais connue de lieu comme celui-ci. Tout lui était inconnue. Depuis qu'elle était venue au monde, elle s'était d'abord habituée au duvet chaud et confortable de son frère puis quand elle a rejoint les loups-garous, c'était contenter de se blottir contre eux et leurs pelages doux et moelleux. Tous les objets qui ornaient cette pièce lui semblait étranger. En fasse d'elle se trouvait un objet de grande taille. Celui-ci avait une forme qui lui semblait familière. Elle se rappela alors du moment où le général l'avait recueilli dans sa tente. Elle était allonger sur un objet identique. Mais celui de cette chambre paraissait bien plus confortable. Elle avait entendue autour d'elle de nombreux soldats en parler, et si elle se souvenait bien de se qu'ils disaient, cet objet s'appelait donc "lit". Cassandra n'aimait pas ce mot. Elle le trouvait bien trop court part rapport à l'imposante place que cet objet prenait. Elle trouvait aussi ce mot trop ridicule. Cela lui faisait penser à un livre. Un objet bien trop petit comparer à celui-ci et la signification était toute autre. Cela ne lui convenait pas. Elle décida alors de le renommer à sa manière : "duvet d'or". Elle ne trouvait pas sa très original ni très joli, mais se qui comptait pour elle c'était que ce mot donnait une sorte de familiarité à l'objet en vers Cassandra. Évidemment, ce terme, elle ne l'utiliserai que pour elle. Elle comptait bien essayer de s'adapter au gens qui l'entourait. Elle s'approcha du "duvet d'or" puis s'assit dessus. Elle se laissa rebondir sur le matelas. Elle trouvait sa tellement ... drôle! Puis elle finit par se lasser et s'allongea entièrement dans son "duvet d'or". Elle resta là, l'air ébêttée à regarder le plafond blanc reflétait le lumière de la lune blanche. Cassandra tourna la tête et regarda le ciel à travers la seule fenêtre de la pièce. Elle se leva alors subitement et se pencha par la fenêtre. Elle voulait voir à quoi ressemblait les gens qui vivaient ici. Elle voyait des hommes et des femmes passer en vêtements, tous plus ou moins chics. Curieusement, tous les passants avaient une ressemblance flagrante. La majorités étaient grand, de taille fine et avaient une peau pâle. Aussi pâle que la lune blanche. Peut-être qu'ils n'ont pas connus l'astre de lumière pensa Cassandra. Pourtant, elle non plus ne l'avais pas connus mais sa peau n'était pas aussi pâle que la leur. Puis soudain, un détail lui sauta aux yeux. Certains passants avaient leurs canines qui ressortaient. Cassandra compris alors qu'elle était au milieu d'un population de vampire. Un frisson glacial lui traversa tout son corps. Elle pensa alors au général. Était-il lui aussi un vampire? L'avait-il fait prisonnière pour lui sucer tout son sang? Cassandra élimina au plus vite cette idée. Si il avait voulu la tuer, il l'aurait fait plus tôt et n'aurai pas sauver sa mère la louve. Mais Cassandra ne voulait surtout pas s'imaginer que cette personne, pour qui elle éprouvait un sentiment plus-qu'amical, ne soit qu'un simple meurtrier sans cœur qui profitait de la faiblesse de Cassandra. Non, il n'était pas comme ça. Elle le ressentait et l'avais vue dans son regard. Son cœur était partager entre se que pouvait être le général, un tueur sanguinaire, et l'amour qu'elle éprouvait pour lui. Mais très vite, elle oublie ce soucie et se laissa submergée par la curieuse envie de visiter les lieux. Pour elle s'était évident, il fallait qu'elle parte à la rencontre de ce monde qui lui était inconnue. Mais elle savait que si elle sortait par la porte, un homme lui empêcherai de quitté se chambre. La fenêtre était donc son seul moyen de sortie . Elle examina les alentours et ne trouva pas mieux que l'arbre devant elle qui semblait lui tendre la main avec sa grosse branche solide qui était juste en dessous du rebord de la fenêtre. Elle grimpa dans l'arbre et quitta sa chambre pour enfin se retrouver dans la rue en compagnie de tous ces vampires. Des gens la regardait bizarrement. Évidement, ce n'est pas courant de voir quelqu'un passer pas les fenêtres, et en particulier une femme. Mais Cassandra essaya de ne pas prêter attention aux regard que lui portaient ces gens. Elle avait tant de chose à savoir! a admirer et à explorer! Celui lui faisait un sentiment étrange. Elle avait comme une soif soudain de connaissances. Elle avança dans les différentes ruelles, admirant tout se qui l'entoure tout en ignorant à quoi cela pouvait bien servir. Puis à un moment, elle s'arrêta net devant un forgerons. Celui-ci avait disposé sur une petite tablette de nombreuses armes, toutes plus magnifiques les unes que les autres. Leurs brillance était intense et laissait échapper du regard de Cassandra une envie irrésistible d'en prendre une. Le forgeron qui faisait mine de ne pas l'avoir remarqué dit alors sur un ton dur et moqueur :
-" Tu me donne quoi pour une de mes armes pauvresse?"
Cassandra n'aimait pas le ton que l'homme avait prit pour lui adresser la parole, mais elle le laissa dire et se contenta de lever son poignard pour faire l'échange.
L'homme sourit puis dit à nouveau :
-"Et tu crois pouvoir m'échanger un petit bout de silex, une antiquité, une vieillerie contre l'une de mes merveilles?"
L'homme ricana puis ajouta :
-"Fillette, si tu ne veut pas mourir sous la lame de ma hache, tu ferais mieux de quitter les lieux dans la minute qui suit!"
Cassandra ne supportait plus se faire humilier par cet homme. De plus, il avait critiquer le poignard de son frère, ce qui lui était encore plus insupportable. Elle fronça les sourcils puis lui répondit :
-" Pour commencer, je ne suis pas une pauvresse, ensuite je ne suis pas non plus une fillette et pour finir ..."
Cassandra marqua une pause, resserra sa main gauche sur son poignard. Elle le leva rapidement pour enfin le planté dans la poitrine du forgeron puis repris sa phrase :
-"... et pour finir, je ne supporte pas que l'on critique mon poignard".
L'homme dont le souffle était coupé s'écroula au sol sans que personne ne le remarque. Cassandra en profita pour dérober une épée. Celle qu'elle avait pris était longue et avait une lame particulièrement fine. Une étiquette était poser délicatement dessus, sur laquelle il y avait écrit le mot rapière. cela devait surement indiquer le nom de l'épée. Elle trouvait cette arme féminine et séduisante. Cette arme était parfaite pour elle pensa Cassandra ironiquement. Elle quitta les lieux aussi vite qu'elle pue pour ne pas provoquer la panique chez les passants. Elle regarda le ciel à nouveau. La lune blanche laissait peut à peut sa place à la lune rousse se qui signifiait qu'il commençait à se faire tard. Il fallait qu'elle rentre sinon les soldats aurai surement remarqués son absences et seraient parti à sa recherche. Elle marcha à pas rapide à travers les ruelles puis arriva à l'arbre en fasse de sa fenêtre, elle y grimpa habilement et rentra dans sa chambre. Elle examina encore une fois les alentours et espérait que personne n'avait remarqué son absence. Cassandra ne voulait pas que l'on découvre qu'elle avait exploré les environs, elle ferma donc la fenêtre et cacha sa rapière sous le matelas de son "duvet d'or". Elle patienta encore quelques instants lorsqu'un homme frappa à sa porte. Il entra et lui expliqua alors que le général voulait la voir. Elle suivit l'homme sans dire un mot et arriva finalement jusqu'au général qui l'attendait à côté d'un table garnis de petits plat surement délicieux. Cassandra ne savait pas quoi dire. Cet homme qu'elle ne connaissait que depuis quelques jours et dont elle éprouvait un sentiment plus-qu'amical venait à l'instant de l'inviter pour un dîner en tête à tête. Elle en avait presque mal au ventre tellement elle était touchée par ce geste. Le général l'invita à s'assoir. Tous les deux se trouvaient maintenant fasse à fasse ne sachant quoi dire. Cassandra se contentait de laisser paraître un sourire et de le regarder dans les yeux. Son regard était captivant. Il avait les yeux bleu très clair. Cela reflétait la pureté du général. Et quand elle regardait au plus profond de son regard, elle avait l'étrange impression de se retrouver au fond de l'océan, un endroit calme et paisible. Puis le général cligna des yeux et Cassandra détourna le regard. Cela la gênait beaucoup d'être ici et pourtant elle était heureuse. Heureuse de partager ce moment de bonheur avec le général. Pendant tout le repas, ils restèrent silencieux et ne faisaient que se regarder dans les yeux. Cassandra s'en voulait presque de ne pas avoir parler. Ensembles ils quittèrent la table. Cassandra ajouta alors timidement :
-" C'était délicieux!"
Un autre silence se fut.