Parwa était un peu fatigué du voyage qu’elle venait de subir. Le passage vers le monde des hommes était sombre, épuisant et elle ne savait pas ou elle devait aller. De plus elle n’avait pas de but précis à par qu’elle en voulait aux dieux et protègerais les femmes de leur perversité. Le dieu Vulcanïstos lui autorisa d’aller à son repaire, son volcan, mais il ne voulait pas s’attirer des ennuis de la part des autres dieux en la laissant aller là et parwa lui promis qu’elle partirait loin essayant de se faire oublier du reste du monde et surtout des dieux. La solitude, elle ne connaissait que sa depuis la mort de Calipso et même un peu avant, c’était quand même sa marraine. C’était aussi la seule qui lui donnait de l’affection et cela avait marqué à vie le cœur de la jeune fille. Parwa était courageuse et assumait ses responsabilités en tant que déesse, elle protégeait les chasseurs et les animaux créant ainsi un équilibre et une harmonie qu’elle se devait de protégeait. Elle descendit du volcan, plein de soufre est d’une température infernal ce qui l’a fait transpirer, elle n’était pas une fille faisant partie du domaine du feu ou de la forge. Le volcan projetait des bouts de lave rouge ce qui illuminait le chemin pour se diriger. Pour elle ce n’était pas un lieu agréable et elle coura avec son arc et ses flèches en or loin du feu du volcan. Vulcanïstos fit couler de la lave en direction de la forêt car c’était un domaine qu’elle pouvait mieux gérer. Elle transmit un dernier message de remerciement au dieu vulcanïstos par un de ses petits insectes préférer : un papillon de nuit avec des ailes fines avec des bords dorés.
C’était une signature que Parwa faisait de temps en temps. Puis elle partie toujours dans cette descente très surprenante et compliquée. Elle descendit pendant près de trois jour mangeant des fruits et du pain. Elle se sentit fatiguée car le corps humain réclama aussi de la viande et elle devait chasser mais d’abord, elle devait gardé son calme et essayé de finir de descendre. Au bout du 5e jour, elle ne supporta plus ses jambes et s’écroula, roulant sur la pente pendant des heures jusqu’à ce que le sol soit plat. Elle se sentit vidée de ses forces, c’était la première fois qu’elle ressentait sa car dans le monde des dieux, il n’y avait pas ces sentiments et ces impressions qui se bousculait dans la tête.
Mais, pourquoi ce corps est aussi fragile ? C’est sa être fatigué ? Pourquoi les dieux ne ressent-il pas sa aussi ? Comment ce monde m’accueillera-t-il ? Se demanda elle.
Elle sentit ses paupières se fermer tellement son corps d’emprunt avait faim et fatigué. Peut-être devrais-je dormir, mais que signifie ce mot peut-être sont ce que font les chasseurs à côté de leur femme, ils dorment. Pourtant, ils me donnent tout le temps l’impression qu’ils sont mort et des heures, après ils reviennent à la vie. C’est peut-être sa dormir. Et elle se laissa dormir dans un monde sans rêve, que le noir total et pour la première fois elle sentit un soulagement lui traversait le corps.
Elle se réveilla que bien plus tard avec quelque chose lui lechant les orteilles la faisant rire à grand éclat. Elle ouvrit les yeux et par surprise elle vit un troupeau de chèvres sauvages. Le rire, c’était un sentiment étrange…