Cannovar sentait déjà l'exitation le saisire. Il le cachait mais intérieurement il était comme un gamin avec un nouveau jouet. Le métamorphe était un grand stratège qui appréciait les échecs et la philosophie. Mais c'était aussi un adepte des combats. Ce qu'il préférait par dessus tout c'etait d'être au centre de l'action et mener ses troupes au coeur des rangs adverses. Il aimait la fraternité et la loyauté de ses hommes qui se dégageaient alors vers lui, lorrsqu'il s'élançait contre la marée de haine et d'envie meurtrière. Cela allait bientôt arriver. 3 jours plutôt un de leur espion métamorphe, infiltré chez une meute des loup garou, était revenu avec un bras en moin et des trace de griffures qui lui recouvrait le corps. Il mit trois heures pour arriver à prononcer quelques mots. Ils informa le général d'un prochain déplacement en masse des créatures mi-hommes mi-loups. L'éspion était mort rapidement, c'est blessures c'était remise mais la gangraine l'avait gagné d'une manière effroyable. En quelques jour il était devenu un tas de chair informe, aussi bien pourri à l'exterieur qu'à l'intérieur. Mais il criait des cris de souffrance qui résonna autour de la pièce dans laquelle on l'avait enfermé. Les cris parvenaient jusqu'au appartement du général, qui au bout de la deuxième nuit après l'arrivé de l'espion, était sortit de son lit avec l'épée à la main. Il était rentré dans la cellule du pauvre métamorphe et l'avait violament achevé. Dans la colère cannovar abattit son épée à plusieurs reprises l'être en décomposition qui sous le premier coup. Lorsque le général regarda les restes en lambeaux de la peau déchictée. Il y avait au sol autant de pus que de sang. C'était une vision répugnante, encore maintenant. Cannovar se sentt très mal au souvenir de la pièce imaculé de pourriture et de chaire déchictée. Le général se leva brutalement de son fauteuil et courut à la fenêtre. Il recracha tout son repas du midi à peine digéré. Le général vérifia si il n'avait pas taché son armure. Elle était sauvée! Cannovar retourna sur son fauteuil en se massant les tempes. Il chercha dans ses souvenir des images plus agréable que celles du dernier jour de cet espion métamorphe. Le général se remémora le corps somptueu d'une des concubine de son roi qui lui avait chaleureusement gratifié un rendez-vous avec la charmante demoiselle. C'était une humaineet semblait timide et insertaine. Mais Cannovar avait vite comprit pourquoi Nyrme l'avait choisit. Une foi au lit elle devanait une vrai bête. Le roi lui avait confié que c'était une tigresse. Cannovar, alors tout jeune général sans expérience avec les femmes, n'avait pas comprit le sens de la phrase. Mais lorsqu'il regardait les griffure qui d'écoraient son torse et son dos, certaines saignaient même, il comprit la déclaration de son roi. Cannovar se détendit rapidement. Il avait retrouvé sa bonne humeur, et avait laissé loin derière les image de chaire en décomposition. Le général n'attendait plus que quelqu'un vienne toquer à la porte pour lui annocer que les troupes seraient prêtes à partir. On frappa à la porte. Cannovar ne réagit pas. Un homme en armure entra dans la pièce avec un grand sourire. Cannovar se reprit ce n'était pas un homme mais un vampire.
- Nous sommes près général !
Cannovar se contenta de se lever avec lenteur et se dirigea vers le jeune capitaine. Le général plassa sa masse énorme devant le jeune vampire. Cannovar mesurait presque 2 mètres et avait une largeur d'épaule incroyable, sa musculature était sans pareil, et son regard glacial. L'enthousiasme du jeune capitaine disparue d'un seul coup. Il devint presque livide. Cannovar comprenait très bien ce sentiment. Avant qu'il prenne se corps, il y a fort longtemps, il en possédait un petit et frèle. a cette époque les grands hommes paraissaient géants. Maintenant Cannovar avait un corps énorme avec une taille époustouflante. Même pour un homme de grande taille il faisait très grand.
- Pret pour quoi capitaine Arthur ?
- Pret à...à... guerre contre...loup-garou ?
- Très bien vous pouvez allez retrouver votre mère , répondit sèchement le général.
Cannovar regarda le capitaine partir présipitement dans les couloirs. Cannovar n'appréciait pas faire souffrir les gens ou même leur faire peur mais il devait se faire respecter et la peur et l'éffroi était les seul moyen qu'il avait trouvé. Il ne se voyait pas à sympatiser ou même parler avec ses soldats. Ils n'avait jamais été à l'aise avec les autres et ils ne le serai jamais. Il n'était pas doué pour les discour non plus. Mais pourtant lorsqu'il chargeait seul les armées ennemies ses guerriers le suivait, allant jusqu'à la mort. Ils était près à mourir pour un homme qui, pour la plus grande partie, n'avait pas entendu un seul mot de cannovar. Bientôt, 220 guerrier montés déchireront les rang de ces créatures indésirées qui peuplent cette terre. Cannovar avait effectivement choisit une troupes de cavalier pour être plus rapide que les loup-garou, ils les ratraperaient sans doute le jour suivant.
Jeu 12 Juin - 14:02