Alors que Mortia commençait à être reconnu pour son travail de tueuse à gage, elle alla chercher quelques pièces d’or pour sa récompense d’avoir tué un homme qui avait commi un crime. Oh, ce n’était pas grand-chose, le vieil homme qui l’avait engagé fut piqué d’une crise de jalousie car quelqu’un avait embrassé sa jeune femme ou quelque chose dans ce genre-là. Mortia était un peu désespéré, les gens ne voulaient que tuer autrui pour un rien et puis ce n’était que des personnes ordinaires. Bref le côté boulot ennuyeux! Quand elle eut son argent et remplit sa bourse en cuir rouge avec précaution, elle réparti en chasse d’un nouveau travail. Mortia traversa une grande rue et en prit une autre plus sombre et plus étroite mais un beau raccourcit pour aller à son endroit favori, la ténébreuse fontaine.
L’humidité régnait et les rats se baignaient avec plaisir dans les petites flaques visqueuses au bord des maisons. Leurs yeux suspects et leurs petits cris semblaient quelque peut inquiétant mais sans plus. Les murs transpiraient et de petits bouts de plâtres se détachaient. Franchement !pensa-t-elle il faut l’avouer que certaine partie de la ville était en mauvaise état. Des grosses planches en bois séparaient les murs. Alors qu’elle passait en dessous, elle entendit un craquement fin. Elle se retourna, mais ne vis rien et à ce moment-là, une grande ombre noire tomba sur elle tel une pierre jetée du haut d'une falaise, s'écrasant sur son dos la laissant vulnérable face à l'ennemi.Elle s’était bien fait avoir !
Mortia enragea de sa stupidité et de son manque de réflexe d’avoir été trompé par une attaque aussi simple. Pendant ce temps, un groupe de brigand mal seins et mal propre l’avait entouré et la personne sur elle l’assomma à coup de pommeau d’épée. Elle tomba dans un profond coma étrange et éprouvant. Elle entendait une voix plaintive et lugubre dans le noir lui disant :<< réveille-moi, appelle-moi, je veux encore tuer>> pendant très longtemps. Elle répondait qu’elle ne savait pas de quoi la voix parlait et elle voulait savoir qui elle était. Puis soudain un grondement sourd se suivit et des yeux rouges sortir du noir lui disant, se lançant vers elle les crocs acéré et atroce, <<Si tu ne me réveilles pas, JE TE TURAIS comme ton PÈRE et tous ceux qui te seront chers te laissant en vie jusqu’à ce que tu me supplies de te tuer>>
Mortia se réveilla en sursaut et en hurlant de terreur. Quel horrible cauchemar ! pensât-elle. Elle transpirait et son souffle était saccadé. Elle vit qu’elle n’était plus dans la rue mais dans un lit chaud et bien agréable pour les malades. Alors, Mortia essaya de se calmer en reprenant sa respiration, vidant son esprit. Elle remarqua que ses plais étaient toutes, sans exception soigné avec soin et minutie.
Ses affaires étaient posées, pliées proprement sur une chaise et Mortia commença à se rhabiller. Évidemment, les brigands d’hier avaient pris sa bourse, mais c’était tellement prévisible.
Elle se douta qu’elle était à l’hôpital, néanmoins, comme on lui avait volé sa bourse, elle n’avait rien pour payé. Les murs, fenêtres, draps, barreaux et lits blanc lui donnaient quelque peut la nausée. Tout était propre et soigné et Mortia s’approcha d’une des six fenêtres, l’ouvrit et pencha la tête dehors à l’air libre et une légère brise soufflait sur son visage.
La lune rousse venait de se levée tranquillement et doucement. Un arbre, un vieux chêne majestueux, fort et beau ne se tenait pas très loin de la fenêtre de Mortia. Ses énormes branches semblaient solides pour supporter le poids d’un homme. Soudains des bruits de pas et de paroles se firent entendre dans les escaliers. Aïe, ça devait arriver un jour, ils vont lui demander de l’argent et se faire arrêté pour ne pas avoir payé. Vite, Mortia ouvrit grand la fenêtre, s’en éloigna puis couru pour prendre son élan et sauta en s’appuyant sur le rebord de la fenêtre à l’extérieur. Elle s’agrippa aux branches du chêne de justesse et descendit de l’arbre. Elle entendit des cris mais elle s’était déjà éloigné bien loin d’ici.